
Vous-même ou l’un de vos proches avez été victime d’un attentat terroriste.
Nous pouvons vous accompagner que vous ayez été victime de cet attentat en France (quelque soit votre nationalité) ou à l’étranger (si vous êtes de nationalité française).
Au fil des années, notre cabinet a développé une compétence particulière dans l’accompagnement des victimes de terrorisme. Nous intervenons aux côtés de la FENVAC notamment pour accompagner les victimes et leurs proches.
Le cabinet ACG est fortement engagé dans la défense des victimes que ce soit dans la recherche des responsables et leur présentation devant une Cour d’assises que pour leur obtenir une juste réparation de leurs préjudices. La loi française a instauré depuis 1986 une procédure d’indemnisation auprès du Fonds de garantie des victimes d’actes de terrorisme. Il s’agit d’une procédure amiable dont le but est de permettre une reconnaissance de l’intégralité de vos préjudices. En effet, le bouleversement provoqué par ces attentats dans la vie des victimes et de leurs proches nécessite une prise en charge spécifique.
Nous nous entourons donc de professionnels rompus à l’accompagnement des victimes. Une expertise sera organisée pour évaluer vos séquelles, notre rôle est bien entendu de nous assurer que tous les aspects de votre dommage soient pris en compte et qu’il ne faut jamais perdre de vue la violence dans laquelle ils sont survenus. La reconstruction sera longue mais nous serons à vos côtés tout au long.
Si jamais la procédure ne peut être maintenue à l’amiable, une juridiction unique est désormais compétente : la Juridiction d’indemnisation des victimes d’actes de terrorisme (JIVAT), et se trouve à PARIS. Notre cabinet a été parmi les premiers à déposer des dossiers devant cette juridiction et maintient sa volonté de toujours améliorer la prise en charge des victimes d’actes de terrorisme.
Nos cabinets
Procès de l’attentat de Villejuif : Plaidoirie de Gérard CHEMLA
‘Juger c’est comprendre et je ne vous comprends pas Monsieur GHLAM’
Quelques rappels
Le dimanche 19 Avril 2015 au petit matin, Sid Ahmed GHLAM, jeune étudiant parisien dont la famille est installée à St Dizier (52), avait comme projet de s’attaquer aux fidèles de l’église Ste Thérèse de Villejuif.
Les réquisitions dans le procès du projet d’attentat de Villejuif
"On a toujours parlé à tort de l'attentat manqué de Villejuif. C'est oublier qu'Aurélie Châtelain a été assassinée ce dimanche 19 avril sur un parking de Villejuif (…) Elle a été la première et heureusement la seule victime de l'attentat de Villejuif. (...) Elle avait 32 ans et toute la vie devant elle".
Ce sont les premiers mots des avocates générales ce lundi 2 novembre, qui aux termes d’un réquisitoire de six heures, ont requis la condamnation de l’ensemble des accusés.
Sonia MEJRI, l’épouse d’un dirigeant de l’armée secrète de l’Etat Islamique
La Cour d’Assises Spéciale chargée de juger Sid-Ahmed Ghlam et ses coaccusés a entendu comme témoin Sonia Mejri, l’épouse sur zone d’Abdelnasser Benyoucef, cadre de l’état Islamique et principal commanditaire de l’attentat.
C’est l’un des moments forts de ce procès.
Le rôle des femmes au sein de l’Etat islamique
Le rôle des femmes au sein de l’EI est relativement limité ; à la connaissance des services spécialisés, aucune femme n’a eu un pouvoir décisionnaire au sein de l’EI.
Sid-Ahmed GHLAM et le manuel du “parfait petit terroriste”
Les enquêteurs ont découvert à l’intérieur du véhicule de Sid-Ahmed Ghlam un classeur de vingt-sept feuilles volantes supportant des annotations manuscrites en langues française et arabe, précisant l’organisation d’un attentat, sorte de manuel pour futur terroriste.
Ce manuel du terroriste, dont Sid-Ahmed Ghlam précisera à l’audience qu’il était en permanence dans son sac à dos, permet de reconstituer ses projets et d’expliquer au moins en partie le déroulement des faits.