Pauline MANESSE-CHEMLA
- Spécialiste en droit pénal avec la qualification spécifique "droits des victimes, adultes et enfants"
Droit pénal
Droit des victimes
Défense pénale des auteurs et victimes
Master II Droit Pénal et Science Criminelles
Formation privatiste judiciaire
C'est au contact de Vincent DURTETTE que Pauline MANESSE-CHEMLA décide de devenir Avocate. Ce dernier lui a transmis son intérêt pour la matière pénale à son arrivée au Cabinet ACG en Août 2005.
L’expérience acquise depuis aux côtés de Jocelyne BEYER BUCHWALTER et de Gérard CHEMLA l’a confortée dans son souhait de faire de cette discipline son contentieux de prédilection. Elle devient associée au sein du Cabinet ACG en janvier 2013 et intervient en :
Droit pénal et Droit des victimes :
- Catastrophe
- Crash aérien
- Explosion
- Réparation du préjudice corporel
- Responsabilité médicale
- Droit des personnes
- Droit des mineurs
- Indemnisation des préjudices
- Accident collectif
- Victimes en série
Exemples de dossiers d’accidents collectifs:
- Avocat des victimes de l'attentat du Bardo du 18 mars 2015
- Avocat dans l'affaire des surirradiés d'Epinal plaidée en octobre 2012
- Avocat dans le dossier des irradiés de Toulouse
- Crash de LA VEZE à Besançon en octobre 2006
- Effondrement de la passerelle du QUEEN MARY 2 le 15 Novembre 2003, étudié à l’occasion d’un stage auprès de la Fédération Nationale des Victimes d’Accidents Collectifs,
- Crash du CONCORDE à Gonesse le 25 juillet 2000
- Crash de l’A310 de la compagnie KENYA AIRWAYS le 30 Janvier 2000
Droit pénal et défense des prévenus et accusés :
Me MANESSE défend aussi régulièrement devant toutes les juridictions les auteurs, mineurs comme majeurs, prévenus et accusés d’infractions pénales.
Quelles réponses face au harcèlement scolaire ?
Un pas de géant pour les victimes !
Le texte adopté le 11 octobre 2023 par le Parlement au terme de la Commission mixte paritaire s’inscrit dans le cadre des réflexions animées par les Etats Généraux de la Justice.
23 mai - Colloque sur les violences conjugales
Le cabinet ACG co-organise les 1ères rencontres du droit de la victime le 23 mai à Sciences Po en partenariat avec le ministère de la Justice, l'association d'aide aux victimes Le Mars - France victimes 51 et l'ERAGE.
Le thème de cette journée d'échanges entre acteurs de terrain est "violences conjugales : quelle place pour quelle victime".
Cette journée est gratuite et ouverte à toutes et tous.
Quand l’expertise pénale devient contradictoire….
Le principe est que l’expertise pénale n’est pas contradictoire contrairement à l’expertise civile qui permet à la personne « mise en cause » de participer aux réunions d’expertise assistée de ses conseils.
Le harcèlement scolaire : il faut que la peur change de camp
Ils s‘appelaient Evalnide, Thybault …. des prénoms à jamais gravés dans le marbre des victimes silencieuses du harcèlement.
Si jeunes et si fragiles.
Proies faciles de la cruauté de leurs semblables, et parfois même des adultes.
Il ne faut pas attendre un drame pour réagir quand on constate que son enfant ne parle plus, ne veut plus aller à l’école et que ses résultats baissent.
Le harcèlement, c’est de la violence, de la violence sournoise, répétée, qui entraîne une dégradation des conditions de vie de l’enfant.
FAQ pour les victimes
Mon fils a été victime d’un très grave accident de la circulation. L’assureur me dit de ne rien faire, de ne pas déposer plainte. J’ai quand même voulu le faire mais la police refuse.
Je suis victime, pourquoi prendre un avocat ?
Prendre pour la première fois rendez-vous chez un avocat lorsqu’on est victime est une étape redoutée. Nous le savons.
Répéter ce qui a déjà été dit à la police, à la gendarmerie, à son médecin, à son psy est très douloureux.
Les honoraires de l’avocat effraient.
On se dit qu’on est victime et qu’on n’a pas besoin d’un avocat, que la justice va faire son travail et que s’il faut vraiment un avocat, on prendra celui qui est recommandé par l’assureur.
La loi protège-t-elle suffisamment les victimes d’attentats ?
Que mettre sous le terme de victime ?
Est victime d’un attentat toute personne qui, présente ou non sur les lieux de l’attentat, subit à titre personnel un préjudice du fait de l’acte de terrorisme.
Cela signifie que sont non seulement considérées comme victimes :
• les personnes décédées ou blessées, physiquement et/ou psychiquement,
• les proches de ces personnes, même non présents sur les lieux de l’attentat.
J’ai peur de me constituer partie civile par crainte de représailles ?
Un lycéen de Châlons-en-Champagne mis en examen pour apologie du terrorisme
Par Monique Derrien, le mercredi 25 novembre 2015.
Me Manesse et Me Chemla défendent des victimes de l'attentat du Bardo
Tunis, le 18 mars 2015. Deux terroristes avaient semé la terreur dans le musée du Bardo et tué 22 personnes dont 4 Français.